Tout a commencé avec le groupe Jacobus et Maleco. Quand Maleco décide de poursuivre une autre carrière, le groupe change de nom pour devenir Radio Radio.
Un premier EP intitulé Télé Télé sort en décembre 2007 et le groupe commence à se présenter en spectacle. Radio Radio se fait connaître pour sa musique électro et ses chansons rap qui se distinguent par le parler acadien. Le groupe signe avec Bonsound Records et son album Cliché Hot sort en mai 2008. La chanson Jacuzzi devient un succès national et le vidéoclip de cette chanson est en nomination au Gala de l’ADISQ 2009 dans la catégorie Vidéoclip de l’année. Timo quitte le groupe, ce qui laisse Jacques Doucet et Alexandre Bilodeau, les deux fondateurs du groupe de la Baie Sainte-Marie, et Gabriel Melanson, de la région de Moncton.
En mars 2010, Radio Radio lance Belmundo Regal, son deuxième album. Le groupe donne des concerts à New York, à Austin, au Texas, dans le cadre de SXSW, et au Festival International de Louisiane. Radio Radio se fait particulièrement remarquer en Acadie et au Québec. Le groupe joue à guichet fermé aux FrancoFolies de Montréal et au Club Soda. En plus d’avoir été en nominations pour divers prix, le groupe a remporté plusieurs honneurs. Citons notamment le fait que le groupe a été retenu dans la courte liste du prix Polaris 2010 pour Belmundo Regal. Radio Radio remporte deux prix GAMIQ pour Album Hip hop de l’année et Vidéoclip de l’année (Dekshoo), et le prix Éloizes pour l’Artiste s’étant le plus illustré à l’extérieur de l’Acadie.
Plus récemment, Radio Radio a lancé le nouveau vidéoclip de Cargué dans ma chaise le 11/11/2011 à 11h11 tourné sur un site maya au Mexique.
Dans la presse
A fine antidote: Radio Radio (laradioradio.com), the Great White North's answer to the Beastie Boys, which means they were spry and, above all, melodic. They could also do an irresistible song about Kenny G. (I kid you not).
Ken Richardson, Sound + Vision
Radio Radio's new album, Belmundo Regal, could certainly make a splash with Americans; even though the lyrics are occasionally in French, the music is full of funk, electronic, and pop influences that have an undeniably universal appeal.
Perhaps the most surprising band of the night, Nova Scotia’s Radio Radio tore apart the stage with their insanely elaborate and energetic French-English rap. Nominated for their album Belmundo Regal, the trio has a presence and uniqueness that transcends the stage with a true Friday night feel.
Sheena Lyonnais, torontomusicscene.ca, 21 septembre 2010
Radio Radio est plus en forme que jamais.
Marie-Hélène Mello, Longueur d'Ondes, avril 2010
On dit que Belmundo Regal est un album hip-hop. Oui, mais c'est plus que ça. Ce sont des chansons et des musiques jaillies d'un enchevêtrement époustouflant de mots, de sons, de sens, de langues, d'humour, de sensualité enfermées dans un kaléidoscope d'images et de pure joie musicale. Un album truffé d'effets big band, de reflets dance, de beats charnels qui disparaissent aussi vite qu'ils surgissent et qui nous laissent les oreilles sur un qui-vive, comme quand on est en manque. More, more, more.
Rino Morin Rossignol, 31 mars 2010, L'Acadie Nouvelle
Look out and listen up, Radio Radio is, quite simply, the best hip-hop act to come out of Canada in a while.
T'Cha Dunlevy, March 4th 2010, The Gazette
Il suffit d'une écoute de Belmundo Regal pour constater que le trio rap a relevé le défi. Une fois de plus, sa fougue et son sens de la mélodie collent parfaitement à ses rythmes électro-club champ gauche.
Olivier Robillard-Laveaux, 4 mars 2010, Voir
Quiquonque avait pu penser que Radio Radio ne serait qu'un feu de paille peut maintenant se mordre les doigts à l'écoute de Belmundo Regal.
Raphaëlle Gendron-Martin, 4 mars 2010, 7jours.ca
[...] Ils sont solides, mélodiques, sensuels, profonds et drôles tout à la fois. Toutes qualités qu'on retrouve justement sur leur deuxième CD, Belmundo Regal.
Marie-Christine Blais, 27 février 2010, La Presse
J'entends vaguement des références à des valises, à Julie Newmar, aux djembes, aux abeilles et à la nourriture chinoise mais que sais-je... On aura encore besoin de quelques mois pour décoder les textes, minimum. Et c'est très bien ainsi! Chose certaine, le départ de Timo ne se fait pas sentir et ne semble pas avoir laissé de trou.
Olivier Lalande, décembre 2009, Scène locale Voir
